Ma Rencontre Avec Simone: Une Panne De Batterie Mais Pas D’Énergie

Avec toutes les nouvelles lois qui sont sorties, tout le monde me tanne pour que je change ma voiture diesel pour une électrique. J’ai quand même encore un peu de mal pour cette transition mais mon garagiste me prête une voiture électrique pour me prouver que j’ai tort. 
Je dois avouer que c’est plutôt pas mal, d’abord la voiture est très silencieuse mais en plus ça permet de sérieux économies en essence. Pour moi le plus gros défaut c’est de penser à la recharger. Heureusement en ville elle consomme pas grand-chose ce qui n’est pas la même chose pour l’autoroute. 

Je pars en déplacement à Belfort, dans le nord-est et d’après mon garagiste et le constructeur, je peux faire le voyage d’une traite. Encore une preuve que les garagistes sont souvent des embrouilleurs, je suis à environ 100 kilomètres de mon hôtel et le voyant de la batterie s’allume déjà. Je m’arrête à la première station service mais ils n’ont pas de bornes de rechargement. Je reprends donc la route et sors le plus rapidement possible pour essayer de trouver une âme charitable qui me dépannera d’un peu d’électricité. 

Le coin est plutôt isolé il y a quelques maisons par-ci par-là, mais je pense que j’aurai plus de chance de trouver quelqu’un qui m’aide ici plutôt qu’en ville. Veinard comme je suis, les deux premières portes auxquelles je tape ne s’ouvrent même pas. A chaque fois que je remonte dans la voiture j’ai peur de ne pas redémarrer.
 
La réserve passe au rouge quand je m’arrête devant une maison de plain pied encore bien éclairée. Heureusement cette fois j’ai plus de chances, surtout que c’est une belle dame qui ouvre la porte avec un grand sourire. Elle fait une bonne dizaine de centimètres de moins que moi a des cheveux courts châtain très clair et un sourire qui irradie son visage. Sa robe courte, moulante et resserrée à la taille met en valeur une poitrine très généreuse qu'on devine grâce à un joli décolleté. 
 
Je lui explique mon problème et elle accepte de m’aider.

Elle monte avec moi dans la voiture, grâce à la lumière du plafonnier je découvre ses yeux bleus foncés qui tendent un peu vers le violet. Nous roulons jusqu’à la grange. Une fois garé pendant que je sors le câble rangé dans le coffre, mon hôtesse tire une rallonge. Le raccordement fait je vérifie sur le tableau de bord, la recharge complète prendra 5h.
 
Je me rapproche d’elle pour la remercier, je lui tends la main en me présentant. Elle se penche vers moi pour me faire la bise (en plus elle en fait 4) et me répond :
« Simone ».
Elle me demande combien de temps je dois rester branché, même si elle a l’air très sympathique je ne veux pas r alors je lui réponds :
« Je suis à 80 kilomètres de mon hôtel alors je pense qu’une grosse demi heure devrait suffire ». 
 
Elle rigole, regarde sa montre lève la tête vers moi et me propose :
« Il est bientôt 23 heures, vous n’allez pas rouler toute la nuit ! Ma maison est grande, si vous voulez je vous prépare une chambre et vous partirez demain matin. »
J’accepte avec  plaisir sa proposition, surtout vu son physique très attirant. Je passerai au moins une agréable soirée et pourquoi pas même un peu plus. Alors que nous marchons vers la maison elle rajoute :
« Dépêchez-vous il commence à faire froid dehors, et mon mari va s’inquiéter. »
J’accélère le rythme de mes pas bien que je sois déçu qu’il y ait déjà un homme chez elle. Et encore plus quand je vois ses jolies fesses se dandiner devant moi. Sa jupe courte et ajustée les moule bien. Elles sont légèrement rebondies.
 
Une fois à l’intérieur, je trouve avachi sur un fauteuil club un homme plus âgé qu’elle. Sa barbe et ses cheveux sont grisonnants, quand il se lève je découvre un homme grand et élancé. Il a un verre de whisky dans la main et me tend celle de libre, il se présente sous le prénom de « Serge ». Simone lui explique la situation, l’homme n’est pas gêné par ma présence et propose même à sa femme de l’aider à préparer ma chambre.
Un peu gêné tout de même je leur dis que je pourrais le faire tout seul.
 
Serge a vidé son verre et me propose de l’accompagner pour le suivant, j’accepte avec plaisir. Il revient avec 2 whisky et un porto pour Simone. Il me demande ce que je viens faire dans la région alors je leur parle de mon boulot et de mes déplacements. Ils m’envient mais je leur explique que ce n’est pas très rigolo de se retrouver souvent seul dans les chambres d’hôtel.

Il me parle de leur vie professionnelle, Simone est employée de mairie et Serge est ingénieur dans une usine de la région. Il est très passionné par son travail mais je dois dire que je suis plus attiré par le physique de sa femme que ses anecdotes. Je fais quand même semblant de l’écouter en sirotant mon verre. 

Serge annonce qu’il est fatigué et veut aller se coucher mais avant de s’éclipser il me dit de me resservir à boire si j’en ai envie. Sa femme s’excuse et le suit, je les entends argumenter un peu trop à haute voix. Elle lui reproche que pour une fois qu’ils ont de la compagnie il pourrait un peu veiller et ne pas se coucher si tôt. Un peu gêné, je tire de mon sac un paquet de cigarettes, ouvre la porte qui donne sur l’arrière de la maison, je m’installe pour fumer ma clope et leur laisser un peu d’intimité. 
 
J’ai fini de fumer, mais je reste dehors jusqu’à ce que j’entends la voix de Simone appeler :
« Romain ? »
Je rentre pour la rejoindre, je la vois les bras chargés de draps. Je les prends et la suis jusqu’à la chambre qui m’est réservée pour la nuit. Pendant que nous faisions le grand lit double à deux, elle lève la tête vers moi et me dit :
« Tu as dîné ? »
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle se met à rougir et s'excuse de m’avoir tutoyé. Je lui réponds que ça va rendre la discussion plus agréable et lui propose qu’on continue de se tutoyer. Je la remercie aussi pour la proposition mais j’ai déjà avalé un sandwich avant sur la route.

 
Elle me propose alors de boire un dernier verre. Là je ne peux pas refuser surtout que ça va m’aider à bien dormir. Le dernier verre se transforme en plusieurs. J’apprends aussi que Serge n’est pas son mari mais seulement son compagnon et ce depuis 15 ans. Ils ne vivent pas complètement ensemble. Quand elle parle de lui sa voix est différente. Avec leur dispute de tout à l’heure, je sens qu’il y a un problème entre eux mais je ne sais pas encore lequel.
 
Alors qu’elle nous ressert à boire c’est à mon tour de parler de ma vie. Je lui raconte mes deux mariages ratés, ma vie professionnelle qui m’amène à droite et à gauche. Nous rigolons bien et passons une agréable soirée en tout cas pour moi. Je la trouve de plus en plus attirante, surtout qu’à force de se tortiller sur le canapé elle me dévoile ses belles jambes. J’ai très envie de lui caresser le bras, les cheveux, le visage… mais je dois me retenir surtout avec son compagnon qui dort à quelques mètres de nous.

Je ne sais pas si c’est l’alcool qui me fait voir les choses autrement ou si c’est elle qui est de plus en plus désinhibée mais je la trouve plus familière avec moi. En plus ses gestes me dévoilent encore plus les parties cachées son corps que j’imagine depuis un moment. J’ai l’impression qu’elle fait exprès de se pencher, quand elle att son verre, pour bien me dévoiler sa magnifique poitrine. Elle a des seins de femme mure en forme de poire, ils me semblent très dense.

Ses mouvements de jambes font de plus en plus remonter la partie inférieure de sa robe je vois de plus en plus ses cuisses se dévoiler et j’aime ce spectacle. Je n’écoute même plus ce qu’elle me dit tellement son corps et ses mouvements m’hypnotisent. À certains moments j’ai l’impression de deviner sa petite culotte que je crois noire. Maintenant en plus de résister à la toucher je dois aussi dissimuler le plus possible mon érection naissante. Je désire mettre un terme à ce supplice alors je lui propose qu’on aille se coucher.
 

J’ai à peine fini ma phrase qu’elle devient rouge pivoine, elle pose sa main sur mon torse, le bout de ses doigts caresse les poils qui sortent de ma chemise est elle me dit :
«Humm, toi et moi ensemble j’aimerais bien. Mais je dois quand même passer la nuit avec mon homme! ». Elle est rouge de gêne mais j’espère aussi d'excitation.
Je sens que ça s’est encore plus tendu dans mon pantalon, mais je ne connais pas encore assez leur ouverture d’esprit pour tenter quoi que ce soit.

Je l’aide à débarrasser puis elle m’indique la salle de bain et les serviettes propres. Je vais chercher ma trousse de toilette et je pars me rafraîchir. Une fois de retour dans la chambre, je sors un bouquin de mon sac de voyage. Chaque nuit j’ai l’habitude de dormir entièrement nu, ce n’est pas ce soir que ça va changer alors je commence à me déshabiller.

Juste quand j’allais enfin retirer mon boxer, la porte de ma chambre s’ouvre alors que je n’ai pas du tout entendu frapper. Simone passe la tête par l’ouverture et me demande avec son regard à la Lise Taylor :
« Tu as besoin de quelque chose avant que j'aille dans ma chambre ? »
Je lui réponds que tout va bien, je la remercie et lui souhaite une bonne nuit. Avant de refermer la porte elle me conseille d’allumer la lampe de chevet pour qu’elle éteigne le lustre. 

Enfin seul je peux retirer mon caleçon qui emprisonne une demi molle. Je m’allonge dans le grand lit et commence la lecture pour penser à autre chose qu’aux magnifiques formes de Simone. Je sens mes yeux se fermer tout doucement, je repose le livre, j’éteins la lumière et pars rejoindre Morphée à défaut de mon hôtesse. 

Je me réveille avec une énorme envie de pisser, je me lève pour aller à la salle de bain et en ne reconnaissant plus rien je me rappelle la panne de batterie. Je retrouve les toilettes, une fois ma vessie vide je retourne vers ma chambre. Je remarque la lumière de la chambre de mes hôtes allumée, j’espère que ce n’est pas moi qui les ai réveillés. Je réalise, seulement maintenant que je me balade à poil chez eux. Je me dépêche de retourner dans mon lit en faisant le moins de bruit possible. 

Vu la fatigue accumulée je n’ai pas grand mal à me rendormir après avoir vérifié que mon réveil est bien réglé pour 6 h. Cette fois c’est mon torse qui me gratte, pourquoi je dors aussi mal ? Mince ! C’est pas un insecte qui se balade au milieu de mes poils mais une main. J’ouvre les yeux et je découvre Simone à ma gauche, allongée dans le lit, le drap ne couvre que le bas de nos corps. Ses seins, encore plus volumineux que ce que je n’imaginais me narguent. 

Elle remarque que je suis réveillé et avant que je n’ai le temps de réagir, elle colle déjà ses lèvres sur les miennes. Je sens immédiatement ma queue commencer à se dresser et le drap se lever. Notre baiser est sensuel mais je n’ose pas rentrer ma langue dans sa bouche. Quand son visage s’éloigne du mien, j’en profite pour allumer la lumière. 

Pendant que je me retourne vers la table de chevet, la main de mon hôtesse ne quitte pas mon corps  et la première chose que je l’entends dire c’est :
« Tu es aussi poilu du dos et des fesses j’adore ça! ».
Il est vrai que j'ai le système pileux très développé, des poils sur ma poitrine et mon ventre, bien sûr mais aussi sur mes épaules mon dos et mes fesses, sans oublier bras et jambes. Je me retourne vers elle avec un beau sourire, je passe ma main derrière sa tête et la rapproche de moi. Je reprends notre baiser juste après avoir remarqué que son mont de Vénus est totalement lisse. 

Cette fois je n’hésite plus et fais rentrer ma langue dans sa bouche mais elle me repousse. Elle remarque mon air étonné, il y a de quoi ! Elle débarque complètement nue dans mon lit alors qu’on se connaît à peine et maintenant elle me repousse. Je pense comprendre que ce n’est pas une habituée des relations extra-conjugales, alors je lui demande :
« Tu es stressée? »
Elle me fait un oui de la tête, du coup je change de mode de fonctionnement.

Je commence par lui embrasser le visage et je me rends compte qu’elle est assez sensible du cou. Ensuite je descends mes lèvres le long de son corps en ne m’attardant pas trop sur sa poitrine bien qu’elle ait les tétons qui commencent à durcir, je ne veux pas de nouveau la bloquer. Je remarque que ceux-ci sont très épais, pas trop longs. Je m’occupe de son ventre que je bisoutte, lèche et même mordille. Une fois arrivé à l’aine je ne me jette pas sur sa grotte comme un sauvage, surtout que je la sens se tortiller, mais je m’occupe de sa cuisse gauche. Je la masse, la caresse et l’embrasse délicatement, tout en descendant.

Je sens Simone de plus en plus réceptive, il me semble même l’entendre gémir quand je la lèche derrière le genou. En continuant à descendre, j’att son pied que je commence à masser. Je me dis que pour une première je vais tester la sensibilité de ses orteils uniquement avec mes doigts. Elle se décontracte de plus en plus. Pendant que je remonte sur sa jambe droite, elle se penche pour me toucher aussi.

Une fois que mon visage se retrouve à proximité de son mont de Vénus, je ne la touche pas encore mais en profite pour bien épiais son sexe. Elle a des lèvres longues et fines, très roses. Je remonte sur son petit ventre en ligne droite pour atteindre ses lèvres. Notre baiser est plus tendre et intime que le premier. Sa langue vient à la recherche de la mienne et ensemble elles partent dans une danse folle.

Quand nos bouches se dessoudent, je retourne titiller son cou alors que ma main droite se pose sur son sein gauche pour le masser. Ma bouche reprend sa descente et s’arrête sur son sein droit. Je fais glisser mes lèvres en cercles de plus en plus petits pour atteindre son téton qui darde bien. Je fais la même chose avec mes doigt sur son jumeau. Ses aréoles brunes se fripent alors que ses tétons durcissent encore plus.

Je le pince du bout des lèvres, je sens Simone très réactive à ces caresses. Ma queue est de plus en plus raide contre sa cuisse, qu’elle bouche pour augmenter mon plaisir. J’aspire sa tétine pendant que ma langue titille la partie dans ma bouche. Puis je change de côté pour que le gauche ne soit pas jaloux. Mon hôtesse est totalement détendue, elle se laisse aller au plaisir et ses mains me caressent les poils du dos. 

Quand j’abandonne sa poitrine je redescend lentement vers son entrejambe. Je commence par exciter son clito avec les poils de barbe mais mes lèvres sont trop impatientes alors elles prennent le relai. Je lui réserve le même traitement qu’à ses tétons, la réaction est imminente. Simone ne se laisse pas aller à gémir, sûrement pour ne pas alerter Serge qui dort pas loin de nous, mais c’est son corps qui parle à sa place. Elle bouge, montrant son excitation.

Elle gigote dans tous les sens et quand je lève la tête un instant je remarque qu’elle se mord les lèvres. Du coup je replonge ma tête entre ses cuisses relevées mais cette fois je m’occupe de ses lèvres intimes. Les grandes sont déjà bien ouvertes, je les parcours du bout de la langue avant de m’enfoncer un peu plus pour rejoindre les petites. Son nectar perle directement dans ma bouche, elle a un goût très sucré avec une pointe d’acidité. J’adore ça et aspire au maximum son élixir.

Ma langue remonte sur sa fente qui s’ouvre comme une fleur quand elle me chuchote :
« Viens en moi! »
Ma bouche n’a pas encore assez profité de sa chatte alors je fais mine de ne pas l’entendre. Ma langue la pénètre, Simone s’agite encore plus sur mon lit alors je la bloque en passant mes bras autour de ses cuisses et je pose mes mains sur ses fesses.

J’embrasse son con comme je le ferai avec une bouche, je tournoie en elle. Je sens ses cuisses s’ouvrirent un peu plus pour me donner un meilleur accès mais aussi me permettre de m'enfoncer plus profondément en elle. Quand j’ai besoin de reprendre ma respiration, j’enfonce deux doigts en elle que je fais bouger comme ma langue avant. Je pose mes lèvres sur son petit bouton qui a bien gonflé et je l’aspire. Il n'est pas trop grand mais bien dur.

J’ai maintenant 3 doigts dans sa grotte qui vont et viennent, je lape la région de son clito en m’attardant surtout sur lui quand je l’entends de nouveau murmurer :
« Viens en moi ! Je vais jouir ! »
Je ne bouge pas et au contraire je redouble d’effort pour la faire monter directement au septième ciel. Je sens qu’elle coule littéralement dans ma main. Mes doigts glissent en elle avec une grande aisance. Elle mouille beaucoup et ça m’excite encore plus.

Comme je sens ses muscles se contracter autour de ma main, j’aspire son petit bouton que le triangle de ma langue chatouille. Mes doigts sont enfoncés en elle et tournoient dans tous les sens. Simone plaque ses mains sur mon visage pour m’enfoncer encore plus sur son pubis. Je sens son corps être pris de spasmes et malgré tout ses effort pour se taire, quelques gémissements s’échappent. S'il n'y avait pas son homme à proximité, je pense que j'aurais droit à une belle sérénade.

Au fur et à mesure où son corps redescend sur le matelas je calme ma bouche. Je retire un doigt après l’autre avec un grande délicatesse. Mon hôtesse a la respiration haletante, ses mains caressent mes cheveux. Une fois mon étreinte totalement relâchée, je remonte vers son visage. Nous nous embrassons tendrement avec nos corps l’un contre l’autre. Ma bite raide s’humidifie rapidement en se frottant à ses cuisses et l’entrée de sa grotte.

Quand notre baiser se calme Simone me dit très doucement:
« Merci beaucoup, c’était très bon ! »
Après un moment à se sourire elle rajoute :
« Je vais retourner dans ma chambre pour que Serge ne remarque rien. »
Sans m’en rendre compte je lâche un :
« Et moi ? »
Aussitôt mon hôtesse me caresse la tige qui grossit encore un peu entre ses mains.

Quand ses doigts atteignent mes couilles, elle me lèche le gland. Sa bouche me semble bien experte de ce côté là mais j’ai envie de plus. Je me soulève l’att sous les bras et la fait remonter sur moi en lui précisant :
« C’est pas de ça dont j’ai envie ! »
En finissant ma phrase, je fais tomber mes mains au niveau de sa taille, je la soulève et l’empale sur ma queue raide.

Je maintiens mes mains sur elle pour décider de ses montées et descentes sur moi. Elles sont d’abord lentes mais que pour un bref instant, j’augmente rapidement la cadence. A chaque coup de reins, Simone se déchaine un peu plus, maintenant elle a posé ses mains sur mon torse et prend appuie pour mieux aller et venir sur moi. Elle s’assoit tellement sèchement sur moi que ses fesses tapent mes couilles.

Je glisse ma main entre nos corps et avec deux doigts je lui caresse le clito. J’ai l’impression qu’elle est vraiment très sensible de ce côté, je la vois se mordre la lèvre inférieure alors qu’elle continue de me chevaucher. Quand je sens son sexe se contracter autour du mien, je retire mes doigts de son petit bouton et je ralentis le rythme de ses mouvements.

Je maintiens ce ralentissement que quelques petites minutes avant d’à nouveau glisser ma main entre nous. Elle est encore plus humide que tout à l’heure, mes doigts la titillent allègrement. Comme tout à l’heure, je sens rapidement sa grotte se refermer autour de moi. Quand j’enlève ma main, elle n’est pas prête à ralentir la cadence. Du coup je la soulève complètement pour sortir ma bite d’elle.

Je ne perds pas de temps, je la mets à 4 pattes et je viens derrière elle. J’empoigne mon sexe pour le frotter contre le sien qui est de plus en plus gluant. Je rentre plus rapidement que je ne l’avais prévu, je la maintiens par la taille pour bien la ramoner. Quand je suis bien à l’aise en elle, je fais glisser mes doigts vers ses fesses que je masse.

Elle semble y prendre beaucoup de plaisir, alors je descends une de mes mains vers son sexe pour humidifier mes doigts. Une fois qu’ils sont bien trempés, je remonte vers son cul et glisse mon index entre ses fesses. Je lui masse la rondelle que je sens déjà bien souple. Je vois Simone planter sa tête dans un oreiller pour ses cris de plaisirs.

Dans cette position elle est encore plus cambrée, j’en profite pour faire rentrer la première phalange de mon doigt dans ses entrailles. Je ne rencontre aucune résistance mais je sens déjà son con se refermer sur moi alors que je continue de la limer ardemment. J’enfonce complètement mon doigt en appuyant bien vers le bas, à travers la fine paroi qui sépare mon index de ma queue, je sens mes veines s’exciter. 

Je ne bouge plus et je la laisse faire tout le travail de vas et viens alors que mon doigt reste bien ancré dans son cul. Ses muscles vaginaux me contractent tellement que je n’arrive plus à me retenir et la rejoins dans ce bel orgasme. Le rythme de ses mouvements diminue alors que je lâche encore deux belles giclées en elle.

Epuisée, mon hôtesse s’allonge sur le matelas, je suis le mouvement pour rester le plus longtemps possible planté en elle. Je m’allonge sur son dos alors que nos respirations reprennent lentement un rythme plus normal. Une fois que je commence à reprendre mes esprits, je me retire lentement de sa grotte. Elle est tellement ouverte que je vois une partie de mon jus couler et sortir de son sexe. 

Bien que cette vision m’excite et que je retournerai bien lui bouffer la moule, je m’allonge à côté d’elle pour reprendre un peu de forces. J’en profite quand même pour lui caresser le dos et les fesses mais elle se dégage rapidement et me demande si j’ai des mouchoirs. Je suis surpris de sa question mais me lève et sors un paquet qui est dans mon sac de voyage. 

Elle me remercie et se lève. Elle ouvre entièrement un mouchoir et s’essuie l’entrejambe pour retirer toutes preuves de notre étreinte. J’ai tellement joui qu’elle prend un deuxième mouchoir qui finit tout aussi maculé que le premier. Elle se penche vers moi, m’embrasse délicatement. J’att à deux mains son visage et l’attire vers moi pour qu’elle me rejoigne dans le lit mais elle m’arrête et me dit :
« J’en ai aussi très envie mais ça fait bientôt une heure que je suis avec toi. J’ai peur que Serge se doute de quelque chose. »

Elle m’embrasse une dernière fois et quitte ma chambre. J’entends une porte se fermer puis le bruit de l’eau pendant quelques minutes. J’entends à nouveau une porte et des bruits de pas qui disparaissent, puis plus rien. Grâce aux endorphines que j’ai produit, je ne mets pas longtemps à me rendormir. Quand mon réveil sonne, je me sens assez fatigué mais me lève quand même. 

Après avoir salué Simone (qui est en nuisette et m’excite déjà) et Serge qui sont déjà entrain de s’affairer dans la cuisine, je file dans la salle de bain. Je prends une bonne douche pour moi aussi effacer toutes les traces de cette nuit. Quand je retourne dans ma chambre, les draps du lit ne sont plus là (elle pense vraiment à tout!). Je pars les rejoindre pour prendre le café quand je dis à Simone que j’aurais pu m’occuper des draps. 

Avant qu’elle ne me réponde, Serge dit d’un air étonné:
« Pourquoi tu as mis ses draps à laver ? »
Sa femme a juste le temps de bredouiller quelque chose, qu’il ajoute en se tournant vers moi :
« Tu ne vas pas payer une chambre d’hôtel pour les nuits à venir alors que tu as une chambre ici ! »
Je le remercie pour son invitation, je suis quand même un peu gêné mais l’idée de passer une nouvelle nuit avec mon hôtesse m’attire beaucoup.

Nous rougissons tous les deux quand Serge me dit :
« En plus je crois que Simone a beaucoup apprécié ta présence hier soir… »
Je les remercie tous les deux pour leur invitation, je me dépêche de ramasser mes affaires et de me préparer pour mon premier rendez vous de la journée qui est à 70 km d’ici.

Avant de partir nous échangeons nos numéros de téléphone, en cas de soucis. Simone veut m’accompagner à ma voiture mais son homme lui fait remarquer qu’elle est trop légèrement vêtue pour sortir, avec cette nuisette courte et quasi transparente. Du coup c’est lui qui m’accompagne à la grange. En chemin il m’explique qu’il a du mal à rester réveillé tard le soir alors que sa femme est plutôt une noctambule. Avant que je parte il me précise :
« Je suis très sérieux, tu es le bienvenu pour le reste de ton séjour dans notre région. Même pour toi ça sera plus agréable, plutôt que d’être seul dans ta chambre. »

Je le remercie encore une fois et accepte son offre à la condition que je les invite au restaurant pour le diner. Nous nous serrons la main et je démarre en pensant que j’ai trouvé enfin un point très positif à la voiture électrique et surtout que j’ai hâte que Serge s’endorme ce soir pour me retrouve encore seule avec la belle Simone…

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