Ma Rencontre Avec Simone: Une Panne De Batterie Mais Pas DÉnergie
Avec toutes les nouvelles lois qui sont sorties, tout le monde me tanne pour que je change ma voiture diesel pour une électrique. Jai quand même encore un peu de mal pour cette transition mais mon garagiste me prête une voiture électrique pour me prouver que jai tort.
Je dois avouer que cest plutôt pas mal, dabord la voiture est très silencieuse mais en plus ça permet de sérieux économies en essence. Pour moi le plus gros défaut cest de penser à la recharger. Heureusement en ville elle consomme pas grand-chose ce qui nest pas la même chose pour lautoroute.
Je pars en déplacement à Belfort, dans le nord-est et daprès mon garagiste et le constructeur, je peux faire le voyage dune traite. Encore une preuve que les garagistes sont souvent des embrouilleurs, je suis à environ 100 kilomètres de mon hôtel et le voyant de la batterie sallume déjà. Je marrête à la première station service mais ils nont pas de bornes de rechargement. Je reprends donc la route et sors le plus rapidement possible pour essayer de trouver une âme charitable qui me dépannera dun peu délectricité.
Le coin est plutôt isolé il y a quelques maisons par-ci par-là, mais je pense que jaurai plus de chance de trouver quelquun qui maide ici plutôt quen ville. Veinard comme je suis, les deux premières portes auxquelles je tape ne souvrent même pas. A chaque fois que je remonte dans la voiture jai peur de ne pas redémarrer.
La réserve passe au rouge quand je marrête devant une maison de plain pied encore bien éclairée. Heureusement cette fois jai plus de chances, surtout que cest une belle dame qui ouvre la porte avec un grand sourire. Elle fait une bonne dizaine de centimètres de moins que moi a des cheveux courts châtain très clair et un sourire qui irradie son visage. Sa robe courte, moulante et resserrée à la taille met en valeur une poitrine très généreuse qu'on devine grâce à un joli décolleté.
Je lui explique mon problème et elle accepte de maider.
Je me rapproche delle pour la remercier, je lui tends la main en me présentant. Elle se penche vers moi pour me faire la bise (en plus elle en fait 4) et me répond :
« Simone ».
Elle me demande combien de temps je dois rester branché, même si elle a lair très sympathique je ne veux pas r alors je lui réponds :
« Je suis à 80 kilomètres de mon hôtel alors je pense quune grosse demi heure devrait suffire ».
Elle rigole, regarde sa montre lève la tête vers moi et me propose :
« Il est bientôt 23 heures, vous nallez pas rouler toute la nuit ! Ma maison est grande, si vous voulez je vous prépare une chambre et vous partirez demain matin. »
Jaccepte avec plaisir sa proposition, surtout vu son physique très attirant. Je passerai au moins une agréable soirée et pourquoi pas même un peu plus. Alors que nous marchons vers la maison elle rajoute :
« Dépêchez-vous il commence à faire froid dehors, et mon mari va sinquiéter. »
Jaccélère le rythme de mes pas bien que je sois déçu quil y ait déjà un homme chez elle. Et encore plus quand je vois ses jolies fesses se dandiner devant moi. Sa jupe courte et ajustée les moule bien. Elles sont légèrement rebondies.
Une fois à lintérieur, je trouve avachi sur un fauteuil club un homme plus âgé quelle. Sa barbe et ses cheveux sont grisonnants, quand il se lève je découvre un homme grand et élancé. Il a un verre de whisky dans la main et me tend celle de libre, il se présente sous le prénom de « Serge ». Simone lui explique la situation, lhomme nest pas gêné par ma présence et propose même à sa femme de laider à préparer ma chambre.
Serge a vidé son verre et me propose de laccompagner pour le suivant, jaccepte avec plaisir. Il revient avec 2 whisky et un porto pour Simone. Il me demande ce que je viens faire dans la région alors je leur parle de mon boulot et de mes déplacements. Ils menvient mais je leur explique que ce nest pas très rigolo de se retrouver souvent seul dans les chambres dhôtel.
Il me parle de leur vie professionnelle, Simone est employée de mairie et Serge est ingénieur dans une usine de la région. Il est très passionné par son travail mais je dois dire que je suis plus attiré par le physique de sa femme que ses anecdotes. Je fais quand même semblant de lécouter en sirotant mon verre.
Serge annonce quil est fatigué et veut aller se coucher mais avant de séclipser il me dit de me resservir à boire si jen ai envie. Sa femme sexcuse et le suit, je les entends argumenter un peu trop à haute voix. Elle lui reproche que pour une fois quils ont de la compagnie il pourrait un peu veiller et ne pas se coucher si tôt. Un peu gêné, je tire de mon sac un paquet de cigarettes, ouvre la porte qui donne sur larrière de la maison, je minstalle pour fumer ma clope et leur laisser un peu dintimité.
Jai fini de fumer, mais je reste dehors jusquà ce que jentends la voix de Simone appeler :
« Romain ? »
Je rentre pour la rejoindre, je la vois les bras chargés de draps. Je les prends et la suis jusquà la chambre qui mest réservée pour la nuit. Pendant que nous faisions le grand lit double à deux, elle lève la tête vers moi et me dit :
« Tu as dîné ? »
Je nai pas le temps de lui répondre quelle se met à rougir et s'excuse de mavoir tutoyé. Je lui réponds que ça va rendre la discussion plus agréable et lui propose quon continue de se tutoyer. Je la remercie aussi pour la proposition mais jai déjà avalé un sandwich avant sur la route.
Elle me propose alors de boire un dernier verre. Là je ne peux pas refuser surtout que ça va maider à bien dormir. Le dernier verre se transforme en plusieurs. Japprends aussi que Serge nest pas son mari mais seulement son compagnon et ce depuis 15 ans. Ils ne vivent pas complètement ensemble. Quand elle parle de lui sa voix est différente. Avec leur dispute de tout à lheure, je sens quil y a un problème entre eux mais je ne sais pas encore lequel.
Alors quelle nous ressert à boire cest à mon tour de parler de ma vie. Je lui raconte mes deux mariages ratés, ma vie professionnelle qui mamène à droite et à gauche. Nous rigolons bien et passons une agréable soirée en tout cas pour moi. Je la trouve de plus en plus attirante, surtout quà force de se tortiller sur le canapé elle me dévoile ses belles jambes. Jai très envie de lui caresser le bras, les cheveux, le visage
mais je dois me retenir surtout avec son compagnon qui dort à quelques mètres de nous.
Je ne sais pas si cest lalcool qui me fait voir les choses autrement ou si cest elle qui est de plus en plus désinhibée mais je la trouve plus familière avec moi. En plus ses gestes me dévoilent encore plus les parties cachées son corps que jimagine depuis un moment. Jai limpression quelle fait exprès de se pencher, quand elle att son verre, pour bien me dévoiler sa magnifique poitrine. Elle a des seins de femme mure en forme de poire, ils me semblent très dense.
Ses mouvements de jambes font de plus en plus remonter la partie inférieure de sa robe je vois de plus en plus ses cuisses se dévoiler et jaime ce spectacle. Je nécoute même plus ce quelle me dit tellement son corps et ses mouvements mhypnotisent. À certains moments jai limpression de deviner sa petite culotte que je crois noire. Maintenant en plus de résister à la toucher je dois aussi dissimuler le plus possible mon érection naissante. Je désire mettre un terme à ce supplice alors je lui propose quon aille se coucher.
Jai à peine fini ma phrase quelle devient rouge pivoine, elle pose sa main sur mon torse, le bout de ses doigts caresse les poils qui sortent de ma chemise est elle me dit :
«Humm, toi et moi ensemble jaimerais bien. Mais je dois quand même passer la nuit avec mon homme! ». Elle est rouge de gêne mais jespère aussi d'excitation.
Je sens que ça sest encore plus tendu dans mon pantalon, mais je ne connais pas encore assez leur ouverture desprit pour tenter quoi que ce soit.
Je laide à débarrasser puis elle mindique la salle de bain et les serviettes propres. Je vais chercher ma trousse de toilette et je pars me rafraîchir. Une fois de retour dans la chambre, je sors un bouquin de mon sac de voyage. Chaque nuit jai lhabitude de dormir entièrement nu, ce nest pas ce soir que ça va changer alors je commence à me déshabiller.
Juste quand jallais enfin retirer mon boxer, la porte de ma chambre souvre alors que je nai pas du tout entendu frapper. Simone passe la tête par louverture et me demande avec son regard à la Lise Taylor :
« Tu as besoin de quelque chose avant que j'aille dans ma chambre ? »
Je lui réponds que tout va bien, je la remercie et lui souhaite une bonne nuit. Avant de refermer la porte elle me conseille dallumer la lampe de chevet pour quelle éteigne le lustre.
Enfin seul je peux retirer mon caleçon qui emprisonne une demi molle. Je mallonge dans le grand lit et commence la lecture pour penser à autre chose quaux magnifiques formes de Simone. Je sens mes yeux se fermer tout doucement, je repose le livre, jéteins la lumière et pars rejoindre Morphée à défaut de mon hôtesse.
Je me réveille avec une énorme envie de pisser, je me lève pour aller à la salle de bain et en ne reconnaissant plus rien je me rappelle la panne de batterie. Je retrouve les toilettes, une fois ma vessie vide je retourne vers ma chambre. Je remarque la lumière de la chambre de mes hôtes allumée, jespère que ce nest pas moi qui les ai réveillés. Je réalise, seulement maintenant que je me balade à poil chez eux. Je me dépêche de retourner dans mon lit en faisant le moins de bruit possible.
Vu la fatigue accumulée je nai pas grand mal à me rendormir après avoir vérifié que mon réveil est bien réglé pour 6 h. Cette fois cest mon torse qui me gratte, pourquoi je dors aussi mal ? Mince ! Cest pas un insecte qui se balade au milieu de mes poils mais une main. Jouvre les yeux et je découvre Simone à ma gauche, allongée dans le lit, le drap ne couvre que le bas de nos corps. Ses seins, encore plus volumineux que ce que je nimaginais me narguent.
Elle remarque que je suis réveillé et avant que je nai le temps de réagir, elle colle déjà ses lèvres sur les miennes. Je sens immédiatement ma queue commencer à se dresser et le drap se lever. Notre baiser est sensuel mais je nose pas rentrer ma langue dans sa bouche. Quand son visage séloigne du mien, jen profite pour allumer la lumière.
Pendant que je me retourne vers la table de chevet, la main de mon hôtesse ne quitte pas mon corps et la première chose que je lentends dire cest :
« Tu es aussi poilu du dos et des fesses jadore ça! ».
Il est vrai que j'ai le système pileux très développé, des poils sur ma poitrine et mon ventre, bien sûr mais aussi sur mes épaules mon dos et mes fesses, sans oublier bras et jambes. Je me retourne vers elle avec un beau sourire, je passe ma main derrière sa tête et la rapproche de moi. Je reprends notre baiser juste après avoir remarqué que son mont de Vénus est totalement lisse.
Cette fois je nhésite plus et fais rentrer ma langue dans sa bouche mais elle me repousse. Elle remarque mon air étonné, il y a de quoi ! Elle débarque complètement nue dans mon lit alors quon se connaît à peine et maintenant elle me repousse. Je pense comprendre que ce nest pas une habituée des relations extra-conjugales, alors je lui demande :
« Tu es stressée? »
Elle me fait un oui de la tête, du coup je change de mode de fonctionnement.
Je commence par lui embrasser le visage et je me rends compte quelle est assez sensible du cou. Ensuite je descends mes lèvres le long de son corps en ne mattardant pas trop sur sa poitrine bien quelle ait les tétons qui commencent à durcir, je ne veux pas de nouveau la bloquer. Je remarque que ceux-ci sont très épais, pas trop longs. Je moccupe de son ventre que je bisoutte, lèche et même mordille. Une fois arrivé à laine je ne me jette pas sur sa grotte comme un sauvage, surtout que je la sens se tortiller, mais je moccupe de sa cuisse gauche. Je la masse, la caresse et lembrasse délicatement, tout en descendant.
Je sens Simone de plus en plus réceptive, il me semble même lentendre gémir quand je la lèche derrière le genou. En continuant à descendre, jatt son pied que je commence à masser. Je me dis que pour une première je vais tester la sensibilité de ses orteils uniquement avec mes doigts. Elle se décontracte de plus en plus. Pendant que je remonte sur sa jambe droite, elle se penche pour me toucher aussi.
Une fois que mon visage se retrouve à proximité de son mont de Vénus, je ne la touche pas encore mais en profite pour bien épiais son sexe. Elle a des lèvres longues et fines, très roses. Je remonte sur son petit ventre en ligne droite pour atteindre ses lèvres. Notre baiser est plus tendre et intime que le premier. Sa langue vient à la recherche de la mienne et ensemble elles partent dans une danse folle.
Quand nos bouches se dessoudent, je retourne titiller son cou alors que ma main droite se pose sur son sein gauche pour le masser. Ma bouche reprend sa descente et sarrête sur son sein droit. Je fais glisser mes lèvres en cercles de plus en plus petits pour atteindre son téton qui darde bien. Je fais la même chose avec mes doigt sur son jumeau. Ses aréoles brunes se fripent alors que ses tétons durcissent encore plus.
Je le pince du bout des lèvres, je sens Simone très réactive à ces caresses. Ma queue est de plus en plus raide contre sa cuisse, quelle bouche pour augmenter mon plaisir. Jaspire sa tétine pendant que ma langue titille la partie dans ma bouche. Puis je change de côté pour que le gauche ne soit pas jaloux. Mon hôtesse est totalement détendue, elle se laisse aller au plaisir et ses mains me caressent les poils du dos.
Quand jabandonne sa poitrine je redescend lentement vers son entrejambe. Je commence par exciter son clito avec les poils de barbe mais mes lèvres sont trop impatientes alors elles prennent le relai. Je lui réserve le même traitement quà ses tétons, la réaction est imminente. Simone ne se laisse pas aller à gémir, sûrement pour ne pas alerter Serge qui dort pas loin de nous, mais cest son corps qui parle à sa place. Elle bouge, montrant son excitation.
Elle gigote dans tous les sens et quand je lève la tête un instant je remarque quelle se mord les lèvres. Du coup je replonge ma tête entre ses cuisses relevées mais cette fois je moccupe de ses lèvres intimes. Les grandes sont déjà bien ouvertes, je les parcours du bout de la langue avant de menfoncer un peu plus pour rejoindre les petites. Son nectar perle directement dans ma bouche, elle a un goût très sucré avec une pointe dacidité. Jadore ça et aspire au maximum son élixir.
Ma langue remonte sur sa fente qui souvre comme une fleur quand elle me chuchote :
« Viens en moi! »
Ma bouche na pas encore assez profité de sa chatte alors je fais mine de ne pas lentendre. Ma langue la pénètre, Simone sagite encore plus sur mon lit alors je la bloque en passant mes bras autour de ses cuisses et je pose mes mains sur ses fesses.
Jembrasse son con comme je le ferai avec une bouche, je tournoie en elle. Je sens ses cuisses souvrirent un peu plus pour me donner un meilleur accès mais aussi me permettre de m'enfoncer plus profondément en elle. Quand jai besoin de reprendre ma respiration, jenfonce deux doigts en elle que je fais bouger comme ma langue avant. Je pose mes lèvres sur son petit bouton qui a bien gonflé et je laspire. Il n'est pas trop grand mais bien dur.
Jai maintenant 3 doigts dans sa grotte qui vont et viennent, je lape la région de son clito en mattardant surtout sur lui quand je lentends de nouveau murmurer :
« Viens en moi ! Je vais jouir ! »
Je ne bouge pas et au contraire je redouble deffort pour la faire monter directement au septième ciel. Je sens quelle coule littéralement dans ma main. Mes doigts glissent en elle avec une grande aisance. Elle mouille beaucoup et ça mexcite encore plus.
Comme je sens ses muscles se contracter autour de ma main, jaspire son petit bouton que le triangle de ma langue chatouille. Mes doigts sont enfoncés en elle et tournoient dans tous les sens. Simone plaque ses mains sur mon visage pour menfoncer encore plus sur son pubis. Je sens son corps être pris de spasmes et malgré tout ses effort pour se taire, quelques gémissements séchappent. S'il n'y avait pas son homme à proximité, je pense que j'aurais droit à une belle sérénade.
Au fur et à mesure où son corps redescend sur le matelas je calme ma bouche. Je retire un doigt après lautre avec un grande délicatesse. Mon hôtesse a la respiration haletante, ses mains caressent mes cheveux. Une fois mon étreinte totalement relâchée, je remonte vers son visage. Nous nous embrassons tendrement avec nos corps lun contre lautre. Ma bite raide shumidifie rapidement en se frottant à ses cuisses et lentrée de sa grotte.
Quand notre baiser se calme Simone me dit très doucement:
« Merci beaucoup, cétait très bon ! »
Après un moment à se sourire elle rajoute :
« Je vais retourner dans ma chambre pour que Serge ne remarque rien. »
Sans men rendre compte je lâche un :
« Et moi ? »
Aussitôt mon hôtesse me caresse la tige qui grossit encore un peu entre ses mains.
Quand ses doigts atteignent mes couilles, elle me lèche le gland. Sa bouche me semble bien experte de ce côté là mais jai envie de plus. Je me soulève latt sous les bras et la fait remonter sur moi en lui précisant :
« Cest pas de ça dont jai envie ! »
En finissant ma phrase, je fais tomber mes mains au niveau de sa taille, je la soulève et lempale sur ma queue raide.
Je maintiens mes mains sur elle pour décider de ses montées et descentes sur moi. Elles sont dabord lentes mais que pour un bref instant, jaugmente rapidement la cadence. A chaque coup de reins, Simone se déchaine un peu plus, maintenant elle a posé ses mains sur mon torse et prend appuie pour mieux aller et venir sur moi. Elle sassoit tellement sèchement sur moi que ses fesses tapent mes couilles.
Je glisse ma main entre nos corps et avec deux doigts je lui caresse le clito. Jai limpression quelle est vraiment très sensible de ce côté, je la vois se mordre la lèvre inférieure alors quelle continue de me chevaucher. Quand je sens son sexe se contracter autour du mien, je retire mes doigts de son petit bouton et je ralentis le rythme de ses mouvements.
Je maintiens ce ralentissement que quelques petites minutes avant dà nouveau glisser ma main entre nous. Elle est encore plus humide que tout à lheure, mes doigts la titillent allègrement. Comme tout à lheure, je sens rapidement sa grotte se refermer autour de moi. Quand jenlève ma main, elle nest pas prête à ralentir la cadence. Du coup je la soulève complètement pour sortir ma bite delle.
Je ne perds pas de temps, je la mets à 4 pattes et je viens derrière elle. Jempoigne mon sexe pour le frotter contre le sien qui est de plus en plus gluant. Je rentre plus rapidement que je ne lavais prévu, je la maintiens par la taille pour bien la ramoner. Quand je suis bien à laise en elle, je fais glisser mes doigts vers ses fesses que je masse.
Elle semble y prendre beaucoup de plaisir, alors je descends une de mes mains vers son sexe pour humidifier mes doigts. Une fois quils sont bien trempés, je remonte vers son cul et glisse mon index entre ses fesses. Je lui masse la rondelle que je sens déjà bien souple. Je vois Simone planter sa tête dans un oreiller pour ses cris de plaisirs.
Dans cette position elle est encore plus cambrée, jen profite pour faire rentrer la première phalange de mon doigt dans ses entrailles. Je ne rencontre aucune résistance mais je sens déjà son con se refermer sur moi alors que je continue de la limer ardemment. Jenfonce complètement mon doigt en appuyant bien vers le bas, à travers la fine paroi qui sépare mon index de ma queue, je sens mes veines sexciter.
Je ne bouge plus et je la laisse faire tout le travail de vas et viens alors que mon doigt reste bien ancré dans son cul. Ses muscles vaginaux me contractent tellement que je narrive plus à me retenir et la rejoins dans ce bel orgasme. Le rythme de ses mouvements diminue alors que je lâche encore deux belles giclées en elle.
Epuisée, mon hôtesse sallonge sur le matelas, je suis le mouvement pour rester le plus longtemps possible planté en elle. Je mallonge sur son dos alors que nos respirations reprennent lentement un rythme plus normal. Une fois que je commence à reprendre mes esprits, je me retire lentement de sa grotte. Elle est tellement ouverte que je vois une partie de mon jus couler et sortir de son sexe.
Bien que cette vision mexcite et que je retournerai bien lui bouffer la moule, je mallonge à côté delle pour reprendre un peu de forces. Jen profite quand même pour lui caresser le dos et les fesses mais elle se dégage rapidement et me demande si jai des mouchoirs. Je suis surpris de sa question mais me lève et sors un paquet qui est dans mon sac de voyage.
Elle me remercie et se lève. Elle ouvre entièrement un mouchoir et sessuie lentrejambe pour retirer toutes preuves de notre étreinte. Jai tellement joui quelle prend un deuxième mouchoir qui finit tout aussi maculé que le premier. Elle se penche vers moi, membrasse délicatement. Jatt à deux mains son visage et lattire vers moi pour quelle me rejoigne dans le lit mais elle marrête et me dit :
« Jen ai aussi très envie mais ça fait bientôt une heure que je suis avec toi. Jai peur que Serge se doute de quelque chose. »
Elle membrasse une dernière fois et quitte ma chambre. Jentends une porte se fermer puis le bruit de leau pendant quelques minutes. Jentends à nouveau une porte et des bruits de pas qui disparaissent, puis plus rien. Grâce aux endorphines que jai produit, je ne mets pas longtemps à me rendormir. Quand mon réveil sonne, je me sens assez fatigué mais me lève quand même.
Après avoir salué Simone (qui est en nuisette et mexcite déjà) et Serge qui sont déjà entrain de saffairer dans la cuisine, je file dans la salle de bain. Je prends une bonne douche pour moi aussi effacer toutes les traces de cette nuit. Quand je retourne dans ma chambre, les draps du lit ne sont plus là (elle pense vraiment à tout!). Je pars les rejoindre pour prendre le café quand je dis à Simone que jaurais pu moccuper des draps.
Avant quelle ne me réponde, Serge dit dun air étonné:
« Pourquoi tu as mis ses draps à laver ? »
Sa femme a juste le temps de bredouiller quelque chose, quil ajoute en se tournant vers moi :
« Tu ne vas pas payer une chambre dhôtel pour les nuits à venir alors que tu as une chambre ici ! »
Je le remercie pour son invitation, je suis quand même un peu gêné mais lidée de passer une nouvelle nuit avec mon hôtesse mattire beaucoup.
Nous rougissons tous les deux quand Serge me dit :
« En plus je crois que Simone a beaucoup apprécié ta présence hier soir
»
Je les remercie tous les deux pour leur invitation, je me dépêche de ramasser mes affaires et de me préparer pour mon premier rendez vous de la journée qui est à 70 km dici.
Avant de partir nous échangeons nos numéros de téléphone, en cas de soucis. Simone veut maccompagner à ma voiture mais son homme lui fait remarquer quelle est trop légèrement vêtue pour sortir, avec cette nuisette courte et quasi transparente. Du coup cest lui qui maccompagne à la grange. En chemin il mexplique quil a du mal à rester réveillé tard le soir alors que sa femme est plutôt une noctambule. Avant que je parte il me précise :
« Je suis très sérieux, tu es le bienvenu pour le reste de ton séjour dans notre région. Même pour toi ça sera plus agréable, plutôt que dêtre seul dans ta chambre. »
Je le remercie encore une fois et accepte son offre à la condition que je les invite au restaurant pour le diner. Nous nous serrons la main et je démarre en pensant que jai trouvé enfin un point très positif à la voiture électrique et surtout que jai hâte que Serge sendorme ce soir pour me retrouve encore seule avec la belle Simone
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!